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Afrika, Hermann, éd. le lombard
Au delà des nuages, de hautière et Hugault, éd .Paquet
Berlin, de Marvano, éd. Dargaud.
Bab El-Manded, de Micheluzzi éd.Casterman
Borgia, de Jodorowsky et Manara éd. Albin Michel. 
Exécutive woman, de Martin Veyron, éd. L'Echo des savanes.
Exterminateur 17 chez Casterman

Epoxy, de J.V.Hamme et P.Cuvelier, éd.Lefranco
H.M.S. de Roussel et Seiter,éd. Casterman
IRS de Vrancken et Desberg, éd. Le Lombard

Exit de B.Werber et A. Mounier, éd. A.Michel
Kriegsspiel, "Le jeu de la guerre", de Arno et Bacquet, éd. La Sirène.
La malédiction d'Edgar, de Chardez et Dugain, éd. Casterman
La mangouste, de R.Meyer et X.Dorison, éd. Dargaud
Le combat ordinaire de Manu Larcenet, Dargaud
Le dernier envol, de Romain Hugault, éd. Paquet.
Le diable des sept mers, de Herman et Yves.H éd. Aire libre

Le goulag
de Dimitri, éd. Albin Michel.
Les peaux rouges, de Hans Kresse, éd. Casterman
Les maîtres de l'orge, de Van Hamme et Vallés, éd. Glénat.
Les nouveaux tsars, de Jean-Yves Delitte, éd. Glélnat

Les oubliés d'Annam, de Lax et Giroud, éd. Dupuis.
Le Transperceneige, de Rochette et Lob, éd. Casterman
Le vent des dieux, de Cothias et Adamov, éd. Glénat.
Maus
de Art Spiegelman éd. Flammarion. Prix Pulitzer 1992.
Murena, de Dufaux et Delaby, éd. Dargaud.
Persépolis, de M. Satrapi, éd. L'association.
Putain de guerre, de Tardi, éd.Casterman
Rebelle, de Richelle et Beuriot, éd. Glénat.
Sept psychopathes, de Vehlmann et Phillips, éd. Delcourt.
Shandy, de Matz et Bertail, éd. Delcourt.
Saïgon-Hanoï, de Casey, éd. Aire Libre
Sarajevo-Tango, de hermann, éd.Aire Libre
S.O.S. Bonheur, de Griffo et Van Hamme, éd. Aire Libre.
Souvenirs de la Grande Armée, de Dufrane, éd. Delcourt
Sur les traces de Dracula, Hermann et Yves H. éd. Casterman
Tout le monde il est français, Konk, éd..Auda Isare
Tramp, de Kraehn et Jusseame, éd. Dargaud.

Ulysse de Lob et Pichard, éd. Glénat
Wayne Shelton, de Van Hamme et Deneyer, éd.Dargaud.

 

 

 

Afrika de Hermann, éd. Collection signée, le Lombard. Une histoire d'homme où il y a des femmes, le héros est viril, fort, insensible mais finit comme un homme désespéré et ordinaire. Histoire d'un garde chasse aventurier revenu d'un tas de choses. Les dessins sont bons mais un peu sombres.
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Au-delà des nuages Tome 1 : Duels. Scénario de Régis Hautière, dessins et couleurs de Romain Hugault, aux éditions Paquet. Les dessins et les couleurs sont assez inégaux d'une planche à l'autre. Tantôt époustouflants dans les paysages et tantôt médiocres dans les personnages. Une histoire d'aviation et d'amitié avant guerre sur fond de cinéma hollywoodien. tome II (combats) Comme au tome I les dessins sont inégaux, passables pour les personnages, sublimes pour les paysages. L'histoire gagne en hauteur, et les scènes de batailles sont très belles.
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Très fort : Micheluzzi, Bab El-Manded, éd. Casterman.Il fallait oser le faire, prendre quatre personnages atypiques, un anglais "so britich" joueur invétéré criblé de dettes, un italien anti-fasciste quelque peu excentrique, une putain égyptienne et une aristo anglaise, les embarquer dans une aventure semi-louche en Afrique juste avant-guerre et restituer minutieusement le climat politique avec justesse. On est dans le domaine réservé d'Hugo Pratt ! Hé bien, non ! L'auteur s'en sort parfaitement. De la bonne, de la très bonne BD !
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Berlin De Marvano, couleurs de Denoulet, c'est chez Dargaud. Je n'ai eu entre les mains que le tome II. De bonnes références historiques, mieux : une bonne leçon d'histoire de Berlin occupé qui compense la faiblesse des dessins. Le scénario est réaliste.
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Que peut-il se passer quand Jodorowsky rencontre Manara ? Une superbe bande dessinée ! Quand en plus on plonge dans l'univers des Borgia…(c'est le nom de la série) chez Albin Michel le Le tome I est prometteur et le Tome II tient toutes le promesses du I ! les dessins et les couleurs sont superbes, du grand art. On s'arrête à chaque image. On retrouve un Machiavel plus vrai que nature, un Pape à la mesure de sa dimension : ordurière. Du lucre, de la méchanceté, le goût du pouvoir. Bref, l'Histoire. A lire absolument. Pardon : à voir absolument. la saga se poursuit avec le Tome III, toujours aussi magnifique, le lecteur s'habitue aussi vite au luxe des planches que les borgia au crime crapuleux...
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J'aime les dessins de Martin Veyron. Exécutive woman, éd. L'Echo des savanes/Albin Michel. J'aime Veyron autant que Lauzier, ça tombe bien. Lauzier parle de sexualité, de frime et de fric. Sa cible ? Le cadre moyen ou supérieur vers la quarantaine. La cible de Veyron c'est la femme cadre/libérée/battante qui arrive à la quarantaine. Un petit régal.
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Exterminateur 17 chez Casterman. C'est en 4 volumes. Par Bilal et Dionnet, dés le deuxième volume Baranko remplace Bilal, mais ça reste loufoque. On se promène dans une univers onirique en passant un moment agréable.
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Un petit plongeon dans la mythologie avec "Epoxy" de Jean van Hamme et des dessins de Paul Cuvelier, aux éditions Lefranco. Les aventures d'une jeune femme sur un bateau. Elle tombe à la mer et les aventures commencent… Un agréable moment.
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Une bonne série en deux volumes H.M.S. (His Majesty's ship) de Roussel et Seiter, chez Casterman où l'on plonge dans les moeurs de la marine anglaise du 18° siècle, des planches superbes, de bons dessins, de bonnes couleurs. Dommage qu'il y ait plusieurs scénaris croisés. Il n'est pas toujours évident de bien cordonner l'ensemble. Le tome II tient les promesses du premier volume.
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9 volumes corrects pour IRS De Vrancken et Desberg, couleurs de Coquelicot, éd. Du Lombard. L'IRS, c'est un peu la police du fisc américain. Comme le créneau CIA et FBI étaient déjà pris les auteurs se sont rabattus sur l'IRS. Le héros Larry B.Max a trente cinq ans, ça flingue tout les deux pages, il baise bien, il est propre sur lui et honnête. Dessins moyens, intrigue moyenne, un peu de chair. De la bande dessinée alimentaire.
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Par l'auteur de la trilogie "Des fourmis", Exit de Bernard Werber et Alain Mounier éd. Albin Michel. Vous en avez assez de la vie et vous ratez votre suicide ? Exit peut vous aider ! Exit est une agence "d'entre aide" pour futur suicidé. Deux conditions pour vous inscrire et en faire partie : ne jamais parler d'Exit, être prêt à aider d'autres personnes dans votre cas… Là où les choses se corsent c'est quand vous changez d'avis… En trois volumes vous aurez le temps de changer d'avis !
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A déconseiller aux repentants ethno masochistes : "Tout le monde il est français" de Konk, aux éditions Auda Isarn. Konk, c'est un peu le Geluck de droite, en quelques traits Le chat démontre l'absurde d'une phrase, Konk en un petit dessin démontre l'absurde d'une situation politique. La couleur est claire : Konk est de droite, mais on s'en fout, l'important c'est qu'il nous amuse. De toute façon depuis que l'hémisphère gauche de mon cerveau s'est réconcilié avec l'hémisphère droit, il carbure à fond….
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Un ouvrage traitant d'histoire de Arno et Bacquet "Kriegsspiel" Le jeu de la guerre, aux éditions La sirène.
Cette BD raconte un pan de l'histoire oublié de l'après guerre, du moins de l'encore guerre. Quand des militaires allemands, nazis convaincus, refusèrent la capitulation et continuèrent leur combat réel jusqu'en …1954 pour certains d'entre eux !
Ils opéraient de la Basse et Haute Silésie et en Poméranie. Opération de guérilla, coup de poing, attaques ferroviaires, guerre psychologique étaient leur mode de combat. L'ouvrage est extrêmement documenté, il est préfacé par un ancien officier de l'OSS qui aida énormément ces "rebelles" -anticommunistes parfaits- en fournissant la logistique. Les couleurs et les dessins ne sont pas inoubliables, mais l'ouvrage vaut la lecture.
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La malédiction d'Edgar Les dessins de Didier Charlez ne sont pas le nec plus ultra, les couleurs de Véronique Gourdin très ordinaires, reste le scénario et l'adaptation de Marc Dugain. A l'origine c'était un livre, un best seller traitant de la saga de la famille Kennedy, surtout de l'origine familiale, de bonnes références historiques. Surprenant. C'est chez Casterman.
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Le combat ordinaire, par Manu Larcenet, éd. Dargaud. Une petite tranche de vie dans le Tome 4 de cette saga sur fond de chantier qui ferme, d'un journaliste paumé dans ses histoires, d'un soir d'élection présidentielles 2007 et d'une nuit de cuite ordinaire qui n'a rien à voir avec l'élection. Le graphisme est aussi pauvre que les couleurs, mais le scénario est solide et... réaliste, c'est assez rare...
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Pour les amateurs d'avions et de combats aériens : Le dernier envol de Romain Hugault, aux éditions Paquet. Mais pas seulement pour les passionnées d'aviation. Des couleurs sublimes, des planches irréprochables. L'histoire de quatre pilotes de nationalités différentes pendant la dernières guerre. L'épilogue est surprenant, les histoires sont fortes et la "chute" qui les réunit ne l'est pas moins.
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Herman/Yves. H, Le diable des sept mers, aux éditions AIRE LIBRE. De l'aventure sur mer et en Caroline du sud à l'aube du VXII° siècle. De belles planches, de bonnes couleurs.
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Le Goulag de Dimitri, éd. Albin Michel. J'ai eu l'occasion de lire les tomes 7 et 8 et du coup j'ai eu envie de relire toute la série.
Impayable : L'histoire d'Eugène Crampon, natif de Nogent sur Marne qui atterrit au camp 333, en Sibérie septentrionale. On se marre du début à la fin par le cocasse des situations ; Le Kamarad Filou est un homme libre : il a pour lui des immensités d'air pur qui suffiraient à ravitailler Los Angeles et Tokyo contre un hot-dog. L'ennui c'est que personne n'est là pour procéder à la transaction.
Toute la série a cette saveur. Boljémoï ! L'est pas triste du tout : dans le tome "Les rois du pétrole" le héros part en Afghanistan et l'on peut voir des divisions soviétiques chanter "La Madelon", ça l'est vraiment "l'inélarable" ! Les dessins sont bons : "T'ention, ça l'est pas chef d'œuvre, mais l'est rigolo !" Vous pouvoir lire sans forcément "mettre balle dans tête" à Kamarad Krampalou qui épouse Loubianka, une ravissante blonde pulpeuse vous pas finir "pitou pitou" (Fou, quoi). Même si dans l'histoire "fik fik" (la baise) l'est très présent chez Kamarad karappate. Ca l'est pas saloperie Kapitalist, l'est saine lecture CCCP.
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Un bon western, Les peaux rouges, de Hans Kresse chez Casterman, en plusieurs volumes, tous distrayants. Pas forcément de la grande bédé, mais largement lisible.Y'a presque que des indiens comme son titre l'indique.
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Une grande fresque historique de Van Hamme et Vallès "Les maîtres de l'orge". (éd. Glénat). Une saga en sept volumes contant l'histoire d'une famille de brasseurs. La saga débute en 1854 et se termine de nos jours. Les dessins, les textes et les couleurs sont bons, mais surtout cette série vaut pour le réalisme des personnages. Tour à tour cyniques, froids, calculateurs et prêts à tout sacrifier pour sauver leur fortune parfois, leur pouvoir souvent. Ces personnages malgré tout, arrivent à être humains ! Un portrait réaliste du capitalisme, de l'affairisme et de l'ambition.
J'ai pris autant de plaisir à lire "Les maîtres de l'orge" qu'à lire le "Le cri du peuple" Le roman de Vautrin mis en images par Tardi. Ce n'est donc pas peu dire. Tardi offre ce coup de crayon qui n'est pas toujours apprécié et perceptible au premier abord, la largesse des traits de Tardi est un peu le "négatif" du crayon d' Hugo Pratt, (Corto Maltesse) dont le trait incisif et sec peut parfois faire reculer, juste avant de découvrir toute la finesse qui se trouve dissimulée dans la droite coupée. Certes dans "Les maîtres de l'orge" le dessin n'atteint pas ce grand art, il n'en est pas du tout désagréable, il a quelque chose d'attirant dans son réalisme, surtout dans ses portraits. Les deux derniers volumes, ne sont pas, au niveau de l'intrigue, du même calibre que les cinq premiers, l'histoire n'est plus très réaliste et devient un peu mièvre. C'est dommage. Quoi qu'il en soit, on quitte les volumes, comme après avoir lu une bonne BD : on est encore dans le film !
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Très fort, une réussite en solo Les nouveau tsars de J-Y Delitte, éditions Glénat. (Tome I et II) L'action se passe en Russie, après la déagrégation de l'URSS, dans une ambiance de rebelles tchétchénes, de mafia, de corruption et de nostalgie . Les dessins sont bons, parfois trop encombrés. L'intrigue tient debout, et puis surtout l'auteur ose finir par le grand boum, on ne s'y attend pas vraiment. Original mais l'auteur aurait du s'arrêter au tome II. On ne peut pas rayer Moscou de la carte et continuer l'aventure comme s'il ne s'était rien passé.
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Une BD d'histoire en deux volumes, elle est de Lax et Giroud "Les oubliés d'Annam" aux éditions Dupuis. Un petit pan d'histoire oubliée, celle des maquisards recrutés par l'armée française reconstituée afin d'aller libérer l'Indochine du "fascisme japonais".
Arrivés là-bas les types se retrouvaient en occupants et non en libérateurs, les Japonais n'y étaient plus et ils devaient se battre contre des maquisards communistes, bref, exactement ce qu'ils étaient quelques mois auparavant ! Un bon nombre passa donc à "l'ennemi" c'est l'histoire de l'un d'eux qui est racontée...On les appelait les "oubliés" car officiellement ils n'existaient pas : l'armée ne voulait pas reconnaître les désertions, ces déserteurs étaient donc "portés disparus" bien qu'ils figurassent comme condamnés à mort dans les registres militaires. L'intrigue est bonne, les dessins et les couleurs de bonnes qualités.
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Le Transperceneige chez Casterman. Les auteurs, Rochette et Lob réussissent à reproduire l'univers des nantis et des gueux dans un train qui se ballade dans le monde sans s'arrêter nulle part. L'action se passe après l'explosion des bombes "climatologiques" il fait froid, très froid. Tout y est : l'action, la bonté, la méchanceté, la générosité des naïfs imbéciles. De beaux dessins en noir et blanc. Un petit régal à lire sur un quai de gare, pas dans le train !
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C'est à un plongeon dans les guerres nippo-nippones entre le XI° et le XVI° siècles que nous invitent Adamov et Cothias dans les cinq premiers volumes "Le vent des dieux". (éd. Glénat). Peu d'auteurs parviennent à se débarrasser de notre culture quand ils en racontent une autre. Les bons sont toujours idéalisés dans une figure de vengeur ou de rédempteur, les pauvres et les gentils sont toujours vengés plus ou moins tard. Ce n'est pas le cas ici. Le monde est cruel, les samouraïs pas forcément gentils et les vieux sages éveilleurs, vivant dans un monastère, peuvent aussi être des pervers sexuels. L'homosexualité est sans tabou, c'est une chose courante et naturelle. Un samouraï sauvé par une réprouvée ne peut la voir autrement qu'avec mépris, une réprouvée reste une réprouvée. La naissance signe l'homme, ses actes sa valeur, mais cela est peu face à la volonté du seigneur local. Les dessins sont bons, les textes sobres. Cette promenade dans le Japon est instructive : en découvrant les particularités géographiques de l'archipel on comprend la parcellisation du pouvoir et les luttes que cela entraîne. Un regret cependant, si cette saga se lit avec plaisir, elle ne provoque pas vraiment d'émotion, le graphisme manque d'humanité, les personnages sont haut en couleurs mais ne font pas vibrer le lecteur au rythme de leurs pulsations. La saga continue sur 14 tomes, avec Gioux non plus Adamov, on reste dans la même veine, mais cette fois on passe aux invasions mongoles et à la Chine.. Je me suis arrêté là, je ne sais pas s'il y a d'autres volumes....
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Maus par Art Spiegelman éd. Flammarion. Prix Pulitzer 1992.
L'histoire d'un riche juif polonais entre 39 et 45. Tout un programme ! De la vie bourgeoise et confortable d'un riche marchand bourgeois aux camps de la mort. Les dessins ne sont pas encourageants, médiocres, à la hauteur d'un mauvais manga, mais on s'y fait : le scénario, hélas réel, balaye comme fétu de paille les mauvais traits de plume. Poignant ? Non, passionnant ! On ne lâche pas le volume, pourtant épais, avant la fin. La force de l'ouvrage c'est de ne pas idéaliser les personnages, une plongée dans un réel atroce qui ne demande aucun effort d'imagination pour le lecteur : il suffit de se laisser bercer par l'horreur.
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XIII Mystery La Mangouste Ed. Dargaud. Par R.Meyer et X.Dorison. Pour les nostalgiques de la série XIII, l'histoire de La mangouste, sa jeunesse, comment il est devenu " La mangouste " justement.
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Pour les amateurs de belles images de bédé historiques et bien documentées, Murena de Dufaux et Delaby, chez Dargaud. Le cinquième volume vient de paraître et l'intégrale existe à présent. Une promenade pas toujours tranquille dans la Rome Antique en compagnie de Néron, et de son mentor : Sénèque. Irréprochable, des planches honnêtes, c'est une valeur sûre.
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Des dessins en noir et blanc ne s'élevant pas au dessus des mangas pour Persépolis de Marjane Satrapi aux éditions l'Association, mais le contenu rattrape ce vilain défaut. La tranche de vie d'une jeune fille des milieux aisés de Téhéran entre deux morceaux d'histoire. La toile de fond, l'Iran des années 80, de la révolution islamiste et l'Europe où elle se réfugie suivi d'un retour au pays. Ca tient en haleine, on ne lâche pas le bouquin et on en conclut, comme toujours, qu'il vaut mieux être riche et bien portant que pauvre et malade.
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On retrouve Tardi et la guerre de 14/18 avec Putain de guerre chez Casterman, mais ce n'est pas le soldat Brindavoine qui nous raconte sa guerre. Le journal de trois années de guerre 14 -15 et 16. Valeur sûre.
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Les dessins sont bons et l'histoire originale dans Rebelle, (tome I) de Philippe Richelle et Jean-Michel Beuriot, éd. Glénat. Dans le Paris de l'occupation les allemands traquent un réseau de ...faussaires ! C'est pas tous les jours qu'on sort de l'ordinaire.
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Sept psychopathes Le scénario est de F. Vehlmann, les dessins de S.Phillips et les couleurs de Hubert. Le scénario est original : sept psychopathes sont chargés d'assassiner Hitler par les services secrets anglais. Les couleurs sont comme les dessins : moyens, mais le scénario relève le tout. C'est publié chez Delcourt.
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Je ne pouvais pas faire l'impasse sur Shandy de Matz et Bertail, éd. Delcourt, sans quoi mon fournisseur attitré en bandes dessinées m'en aurait voulu. Je n'ai eu en mains que le volume II. Une histoire des campagnes napoléoniennes, les dessins sont inégaux, certains sont banals, d'autres sont proprement époustouflants ! La double page 18/19 est un tableau, dans les détails des visages, dans les regards, dans la gueule des chevaux la perfection n'est pas loin. Les gros plans ne peuvent que se comparer à…Dali dont le dessinateur s'inspire certainement. Mais le Maître ne disait-il pas : "N'ayez pas peur de la perfection : vous ne l'atteindrez jamais." En tous cas, ce n'est pas passé loin.
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Aux éditions Aire Libre, un petit régal de Cosey : Saïgon-Hanoï. Une histoire qui se passe entièrement au téléphone, un appel d'une adolescente inconnue à un vétéran du Viêt-Nam venu chercher le repos dans sa maison enneigée. Ca se passe télé allumée, un reportage sur le Viêt-Nam et la conversation entre le vieux et l'ado se déroule au fil des images du reportage. De la grande idée de bande dessinée.
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Sarajevo-tango de Hermann aux éditions Aire libre L'auteur commence par présenter son bouquin, les méchants sont serbes, les autres sont des victimes. On se dit qu'on va s'ennuyer dans une série de clichés. Heureusement que les clichés se limitent à la présentation. Les dessins ne sont pas très bons, mais l'histoire est intéressante : un détective recherche une petite fille dans un pays en guerre, l'ensemble est assez réaliste.
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Des idées, de bonnes idées dans S.O.S. Bonheur (édition intégrale) de Griffo et Van Hamme aux éditions Aire Libre. Une critique acerbe sur les modes de vie de demain. Mais aujourd'hui, c'est déjà demain. Un regard satyrique et réaliste sur les "systèmes" : le boulot, la santé, les vacances et le grand ordinateur qui commande tout. Du déjà vu ? Non, pas tant que ça, pas si "futur immédiat", presque du "futur postérieur". Dommage que cela se termine sur un "happy end" peu réaliste et rasoir en forme de philosophie moraliste. Le "happy end" est une habitude de Van Hamme. Sinon, cet ouvrage c'est "que du bonheur" à lire.
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Souvenirs de la Grande Armée (1807 Il faut venger Austerlizt) Une bédé dédiée aux inconditionnels de l'épopée napoléonienne. L'histoire de troupiers de la Gande Armée, le meurtre d'un cheval (nommé Auterlizt) constitue la toile de fond de cette tranche de vie. Le scénario est de Michel Dufranne, les dessins d'Alexis Alexander et les couleurs de Jean-Paul Fernandez. De très belles planches. C'est édité chez Delcourt. Un bon moment à passer avec de bonnes références historiques.
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Sur les traces de Dracula. De Hermann et Yves H. éd. Casterman. De l'histoire, presque de la micro histoire. Pas passionnant, mais on passe un moment. Les dessins sont toujours un peu sombres mais réalistes.
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Une invitation au voyage avec Tramp de kraehn et Jusseaume en édition intégrale chez Dargaud. L'histoire d'un cargo et de son équipage, mais quelle aventure ! Un superbe polar en forme de "baraterie" (arnaque marine à l'assurance) Du suspens, de l'action, de l'émotion dans une intrigue réaliste. Les dessins sont inégaux, tantôt sublimes dans le détail, tantôt ils semblent baclés. Bref, un film excellent à lire dans sa cabine. Hublots ouverts à cause de l'odeur de rouille, de graisse et de gasoil qui émmane de la "Belle Hélène". J'ai lu la suite, les albums cinq, six et sept. toujours aussi bon. On ne se lasse pas. Les dessins sont toujours inégaux. Le sept déjà donnait des signes de faiblesse, le flash back au cinéma c'est difficile, en bande dessinées presque impossible. L'exercice était périlleux, il a été tenté, pas forcément réussi. Je me suis arrêté au huit, pour l'instant...
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Ulysse de Lob et Pichard, éd. Glénat L'Odyssée revisitée et dessinée par Pichard, ça valait le coup ! Un zeste de science fiction dans le grand récit d'Homère, il fallait oser. Ca marche. Un bon moment, mais Pichard était habitué à nous servir plus d'érotisme dans ses dessins
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Une bonne série "hollywoodienne" Wayne Shelton, chez Dargaud, de Van Hamme et Deneyer. En cours de route se rajoute Cailleteau et Van Hamme s'en va. Je me suis arrêté au tome 6. C'est largement lisible, l'intrigue est possible, surtout au début, après le personnage a tendance à devenir un super-héros. Les dessins sont bons, le héros, la cinquantaine grisonnante est sympathique. De la bagarre et des bons mots parfois : "Finalement tu es un homme très rancunier, Wayne Shelton. - Rancunier, Moi ? Non… Seulement quand j'en veux à quelqu'un !"
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